La Complainte de Dulcinée en ouverture du Festival of New Dance!

La compagnie rentre de sa 4ème tournée à Terre-Neuve, où elle faisait l’ouverture de la 24e édition du Festival of New Dance avec Dulcinea’s Lament. Le lendemain, Dulcinée a animé un atelier professionnel sur le thème de l’authenticité du jeu par le mouvement, suivi d’un échange avec le public autour d’un café.

Like Watching Fire Being Born, par Gloria Hickey « Avec une performance d’une puissance électrique, Dulcinée Langfelder et son équipe (une machine bien huilée) ont conquis le public, impressionné par son énergie intense, la portée du programme et l’impact visuel de la mise en scène. Ne vous trompez pas, Dulcinée Langfelder est une force à ne pas sous-estimer. Le public s’est levé pour applaudir à la fin du spectacle et le buzz a continué durant la réception qui s’en est suivie. « Quand est-ce qu’on peut la revoir ? » […] En récoltant des commentaires, j’ai retrouvé de l’enthousiasme chez tous. Un monsieur a décrit l’impact ravissant de ce spectacle comme suit : « C’était comme si on témoignait la naissance du feu ». Lire la critique en entier.

Lament of Dulcinea, par Monique Tobin
« Il y a 20 ans, j’ai eu la chance d’assister à une représentation de Portait d’une femme avec valise de Dulcinée Langfelder & Cie et je me rappelle très bien des beaux moments de ce spectacle – des images résonnantes d’éloquence et de pathos.
La Complainte de Dulcinée, son errance quichottesque, commence par l’offrande : « Je tenterais de vous amuser avec la muse. »
En effet. Partant d’une ouverture ‘Greco-Brechtienne-multimédia’, amusement engendre amusement, comme le font l’animation d’idoles sacrées, les effilochages des soies dans un maelstrom de curiosité narcissique, le fétichisme idolâtrique, l’élévation ou la réduction du féminin jusqu’à la paillardise ou la vertu dans une danse de confusion onirique. […] À la marionnette translucide de Don Quichotte elle déclare : « À t’entendre parler de moi, personne peut croire que j’existe. » […] je suis qui, alors? Une pute, un amour défendu? Une étoile? Un symbole? Ainsi Langfelder amène l’œuvre à sa confrontation inévitable – le cœur à cœur nécessaire […] Non pas une conversation, bien sûr, mais un monologue de pardon. » Lire la critique en entier.

Langfelder’s Complaint, par Emily Demming
« …une oeuvre interdisciplinaire qui non seulement aborde une des plus signifiantes oeuvres de littérature du canon de l’ouest (ainsi qu’une bonne partie de l’histoire du monde et de ses conflits depuis au moins sa publication), mais en plus qui incorpore la danse, la chanson, du texte, de la poésie, de la marionnette, de la vidéo, du dessin animé, de la musique live… devant un décor tout en mouvement de soie et d’écrans recevant des images projetées par des projecteurs mobiles. […] Artistes visuels de St-John’s, écrivains de St-John’s, cinéastes, musiciens, techniciens, humoristes, conteurs… OÙ ÉTIEZ-VOUS HIER SOIR ? Vous avez raté quelque chose de grand et de petit et de viscérale et de fugitivement présenté dans notre ville. » Lire la critique en entier.

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